Drapées d'un salouva, vêtement traditionnel, le visage paré d'un masque de poudre de bois de santal et d'eau de rose, le m'zinzano, vont les coquettes bouénis.
La femme mahoraise est la richesse de l'homme (on savait déjà qu'elle était son avenir...), comprenez que plus elle est en "formes", plus monsieur semble prospère ! Parce que symbolisant également la maternité, rondeurs et féminité sont intimement liées. Des canons de beauté mahorais décidément bien opposés aux nôtres...
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